Témoignages
Gabrielle Girard
[Elle]
Coucou! Voici mon histoire de 2020, let’s go!
Avant le confinement, j’étais dans une relation amoureuse depuis presque un an. Je travaillais dans un CHSLD (et j’y travaille toujours) en tant que préposée au bénéficiaire.
Témoignage qui contient des sujets sensibles tels que les troubles alimentaire.
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Jay
[il/elle]
Pour avoir une société fonctionnelle, il faut des individus fonctionnels. La crise actuelle du covid-19 est presque essentiellement concentrée sur la santé physique. Il en est à se demander : comment allons-nous repartir notre économie si personne ne va bien? En ce moment, il y a un certain « burnout collectif » dû aux mesures draconiennes disposées à protéger notre santé physique...
Anonyme
Je pense que le deuxième confinement a été pas mal difficile pour tous les jeunes. Après l’été, peut-être que j’étais naïf, mais je pensais que mise à part l’école en ligne, la situation allait plutôt redevenir normale. Alors me retrouver coincé chez moi était encore plus décevant. Ce qui m’a le plus affecté dans les premières semaines était le manque général d’excitation ou de surprise dans mon quotidien.
Asianne
Dauphinais-Plamondon
[Elle]
Je pense que d’une certaine façon la pandémie a complètement changé notre style de vie.
Je parlais récemment à mon ami. Il me racontait qu’il avait l’impression d’avoir vieilli de dix ans depuis la dernière année : il va faire des marches et il prend son café en lisant le journal. Pour ma part, j’ai pris l’habitude de cuisiner et de lire un livre en me réveillant le matin...
Axel Bensaddek
[il]
Chaque humain a son histoire. Chaque humain a son combat, ses problèmes. Le corps renferme ces problèmes, le combat est interne. Mais lorsqu’on laisse un allié nous aider face à ce conflit, nos chances de vaincre sont toujours plus élevées. Donc, quand on est mis à part, loin des autres, cette lutte est difficile. Sans aide, ce combat semble injuste. Et, pendant sept mois, on a tous été laissés seuls dans cet affrontement...
Théo Leblanc
[il]
Être seul, c’est d’être dans ma tête. Et être dans ma tête ne mène à rien de bon. Je pense, j’extrapole, je m’inquiète et je me perds. Puis, ça m’en prend beaucoup pour me ramener sur terre. Croyez-moi sur parole. Ou demandez à mes amis. Heureusement, j’ai pris soin de moi ces derniers temps. J’ai pensé à moi. J’ai placé ma santé mentale au-dessus de toute chose...
ÉCLIPSE
Élisabeth Adams
[Elle]
Je suis une jeune femme dans la vingtaine qui a toute la vie devant soi. Juste avant le confinement, je vivais des hauts et des bas comme tous les jeunes de mon âge. Étant une personne sociable qui parle sans gêne à tout le monde, j’aimais sortir entre amis, faire des 5 à 7, m’entraîner dans un gym. J’aimais bien ma vie de bohème...
Aurélie Christina
Pierre
[il]
À moins de deux semaines du début de la fin de session d’automne 2020, nous, les étudiants, sommes au bout du rouleau. Depuis le mois de septembre, le gouvernement du Québec fait tout en son pouvoir pour permettre aux élèves du primaire et du secondaire d’avoir une année scolaire aussi normale que possible...
Nous, les étudiants, sommes les oubliés de la pandémie
NOUS
