Je l’attends encore
Texte de Henri interprété par Jessy
Je l’attends encore, j’espère qu’il ne sera pas trop tard. Ya les portes et les couloirs qui sonnent creux. Avec des luminosités fades. Froide au mur froid au contraire de ce jour de juillet. De l’air sec et de la clim qui donne mal à la tête. Un air sans vie qui semble faible mais à la fois mauvaise et puissante. C’est dans ces moments que tu réalises que L’Hôpital n’est ni pour toi ni pour elle.
Tu es guidé par des apeurées sans espoir, au métronome des échos de nos esprit s’imaginant une fuite continue une fuite que ma sœur pourrait prendre. Les talons de la muse déferlent dans les couloirs. On la récupère aux alarmes des portes barrées. Elle est la : fière et souriante. Ca fait des années quelle joue la comédie et celle-ci se poursuit mais mon innocence est comme brouillard. On transporte un otage clandestin à soulier sans lacet et a bats à grip. On passe devant la machine distributrice et c’est à ce moment que je réalise la gravité des choses, ON ARRETE JAMAIS A LA MACHINE!
La chaleur rentrait par les portes ouvertes bizarre qui faut tirer au lieu de pousser pour pas s’enfuir. C’est les mouches et les déformations du gaz qu’ont voient qu’il fait chaud. Cette humidité qui fait coller le t-shirt dans le bas du dos et les boxers entre mes fesses. Le choc de température étourdie les vagues de vents chauds ont un effet rafraichissant. On est a praire quand même. C’est une chaleur qui n’est plus ressentie par la vierge car la muse dit que la vierge est trop fatiguée.